Un faible son, accompagner d’un étrange bip qui se répétait à intervalle régulier fit revenir à elle Aya Fronçant les yeux, elle les ouvrit doucement pour être aveuglé par une vive lumière blanche Grimaçant sous la douleur, la jeune femme les referma avant de les rouvrir afin de s’habituer à la luminosité. Petit à petit, elle arrivait à distinguer les formes autour d’elle. Un écran installer sur un mur clair se trouvait devant elle. Tournant la tête autour d’elle, l’égyptienne découvrit un rideau à côté, des machines de l’autre d’où émanait ce bip. Très vite, la jeune femme se découvrit dans un lit, relié à ces appareils par un tuyau et ne portait plus ses vêtements de la veille. Une chambre d’hôpital elle reconnu. Faisant un effort de concentration, Aya se rappela de ce qui s’était passer, la manifestation, l’incendie…

La télé devant elle confirmait ces souvenirs. Une présentatrice de la ISTV, commentait des images de l’émeute. Elle racontait qu’un incendie s’est déclarer dans un immeuble voisin de la Sanlow Bank. Aya n’écouta pas davantage, confirmer dans ses souvenirs brûlants de ce qui est arrivé et se sentant un peu perdu. Elle regarda autour d’elle, s’agitant un peu, mais chaque mouvement lui procurait une douleur comme si son corps lui tirait. Dégageant la couverture sur elle, Aya se découvrit de nombreux bandages recouvrant la moitié de son corps. Elle fut apparemment blessée et cela l’inquiétait. Son agitation attira l’attention d’une infirmière qui apparue de l’autre côté du rideau, allant à la rencontre de la patiente.

-Tiens ! Vous êtes réveiller ! Disait-elle en mimant un sourire bien faible.
-Où... Qu'est-ce qui c'est passé ?
-Vous êtes sous le choc encore et l'effet de la morphine. On vous a tirer d'un immeuble en feu. Désolé, mais la moitié de votre corps fut brûlé, il faudra du temps pour bien cicatrisé.

Oui tout revenait en mémoire à Aya. Le bâtiment en flamme, elle qui eut entendu des cris et s’était précipiter pour le secourir. Puis, ce fut le flou total, elle ne se rappelait plus que des flammes qui la brûlait et de la fumée qui lui piquait les yeux en plus de l’étouffer. Sauver quelqu’un oui, il lui semblait bien qu’elle avait essayer de sortir une personne des flammes. Son soucie pour cet inconnu l’emportait sur l’inquiétude de son propre état.

-Et… Et la personne que j’ai essayer de sortir de l’incendie ?
-Il est hospitalisé, sain et sauf. Vous êtes une véritable héroïne.

Cette nouvelle emplissait l’archéologue de joie, elle avait réussit à sauver quelqu’un. L’infirmière se mit à sourire enfin, mais c’était plus une grimace d’amusement.

-Parlant d’héroïne, je vous présente votre colocataire de chambrée..

Elle tira les rideaux et dévoila à Isidora une seconde femme allongée à côté. Avec tous ces bandages, l’égyptienne n’arrivait pas à la reconnaitre, mais elle semblait être dans un triste état. L’infirmière en partant, leur donna comme dernière informations que les effets personnels se trouvait dans les armoires et que rien ne leur manquait. Puis disparue en franchissant la porte.

Aya tourna la tête vers sa « colocataire ». Elle venait de sous entendre qu’il s’agissait d’une héroïne ? L’archéologue n’arrivait pas à l’identifier, sans doute une voulant aider lors de la manifestation et fut prise à partie. Quelle horreur. De manière un peu timide, Aya la salua.

-Salut…
Ne sachant quoi dire en pareille circonstance.

L’infirmière dévoila en repoussant ce rideau, une autre jeune femme, qui n’était pas au mieux de son état non plus. Aya trouva tout de même étrange de déranger une patiente de la sorte et l’exhiber ainsi. Ce n’était pas très professionnel, mais nous étions en Amériques après tout. Le lieu où le culture des célébrités et des héros étaient le plus fort et qu’il fut trop tenter d’aller voir une d’elle. Voir même vendre quelques informations privées à leur sujet. Il fallait voir les magazines à People qui détaillaient les séjours à l’hôpital ou en centre de désintoxe les stars.

Un peu gêné par la situation, fit un coucou timide en levant à peine la main. Soit à cause de la douleur ou ne sachant comment réagir à pareil moment. Sa « colocataire » lui répondit, souhaitant un bon rétablissement.

-Merci… J’espère aussi pour vous, vous ne semblez avoir meilleure mine…

Au moins, elle n’était pas enrouler sous une épaisse couches de bandelettes comme si on cherchait à la momifié. Momifié, voila une belle ironie pour une archéologue protectrice du savoir et des trésors anciens. Elle n’osait même pas regarder en-dessous, Aya avait peur de constater les dégâts. Encore, ce qui pourrait la rassurer, se serait son pouvoir qui pouvait la soignée physiquement. Elle ne savait pas encore comment l’expliquer. Cependant, la jeune femme se refusait de reporter son médaillon, trop peur ou trop honteuse de s’investir à nouveau de cette puissance dont elle se sentait indigne.

Par curiosité et peut-être aussi pour ne plus y penser, Anderson se concentra sur la seconde occupante de chambre. Elle était une héroïne de ce qu’elle avait comprit. Mais qui ? Malgré la morphine, Aya chercha à reconnaitre la justicière. Surement quelqu’un de plus connu que Light Scarab. Et il est vrai que ses traits ne lui étaient pas inconnus. Pourtant, elle n’arrivait pas encore à mettre un nom sur elle, même si certains détails de la veilles lui revenaient petit à petit.

-Excusez-moi… Vous n’êtes pas cette super héroïne dans la manifestation ?

Elle se souvenait d’une femme en costume et cape qui était au milieu de la foule, cherchant sans doute à calmer l’émeute mais fut hélas, la victime de cette foule enragée. Aya s’en souvenait, hélas, elle n’avait rien put faire pour l’aider. Entre « supers héroïnes » il devait exister une solidarité, mais l’égyptienne se sentait indigne de porter ce titre depuis Voltage, et elle fut plus concentrer sur d’autres actions. Peut-être que transformer, elle aurait put en faire d’avantages… D’avantages de catastrophes.

-Vous me paraissez familière… Pardonnez moi, je suis encore étourdit par els événements et les médocs. Je ne cherchais pas à vous mettre dans l’embarras.

Si cela se trouve elle n’avait pas envie d’en parler et tenait à préserver son intimité le temps de son rétablissement, ce qui était compréhensible. Aya c’était laissée emporter par la surprise, mais ne voulu pas paraitre impolie et intrusive.

Il fallait avouer que la situation était embarrassante. Le comportement de cette infirmière était discutable. Mais bon, google regorgeait de témoignages de gens se plaignant des infirmiers et médecins dans les hôpitaux. Sans doute qu’elle n’avait pas de mauvaises intentions, pensant qu’arranger un peu de compagnie ferait plaisir. Mais surtout, avoir une « célébrité » dans ses locaux devait faire baisser toute prudence et bienséances. Et si on pouvait imaginer que le personnel de l’hôpital faisait de son mieux pour conserver son professionnalisme, il y avait toujours une brebis noire quelque part et il a fallut que les deux femmes tombent dessus. De toute manière Aya était en trop mauvaise état pour protester et maintenant qu’il s’y sont lancer.

L’égyptienne cru reconnaitre l’héroïne lors de la manifestation qui s’est faite rouer de coups par la populace en colère. Elle pouvait se tromper, mais elle cru reconnaitre certains traits. Ou bien étaient-ce les médicaments qui la faisaient délirées. Mais la principale intéressée confirma son identité. Cela fit un choc à Anderson, qui ne pensait pas rencontrer une super héroïne aussi célèbre. Aya pouvait avoir accès à une très grande puissance, elle se considérait comme petite en comparaison d’une Gemme.

-Oui… Un vrai chaos c’est effrayant…

Aya baissa d’un ton, perdant le peu d’entrain qu’elle avait. La jeune femme culpabilisait toujours, se considérant comme responsable de ce bouleversement. Mais trop honteuse, elle ne voulait rien dire à la super héroïne. Peut-être finira t’elle par faire le lien. D’ailleurs, sa réplique suivante n’aida pas l’archéologue à se sentir mieux.

-Il paraît que vous avez été héroïque, même si ça apporte son lot de bandages. Vous pouvez être fière de vous.

Aya lâcha un léger rire, mais pas d’amusement, plutôt quelque chose pouvant se traduire par « Ouais c’est ca ».

-Héroïque… Ouais j’en doute. J’ai sauver quelqu’un oui. Mais c’était plus de la folie en se jetant dans cet incendie. Je n’ai rien d’une héroïne. Folle et incompétente ca oui.

Elle avait sauvée un homme certes, mais elle se voyait avec le recul comme quelqu’un d’inconscient. Aya s’était jetée corps et âme dans un incendie pour essayer de sauver quelqu’un sans savoir où il était exactement. Résultat, elle ressemblait à Double Face à présent. Allait-on la qualifié d’héros après ca ? Siren le faisait, mais elle, était déjà une héroïne alors son jugement n’était il pas biaisé ?
Elle continua encore à trouver de belles paroles réconfortantes. A croire qu’elle sentait quelque chose en Aya, qu’elle décelait cette singularité en elle. C’était troublant, car la jeune femme ne savait pas si elle devait au final tout avouer ou bien s’assurer avant que Kayla savait avant ?

-Je ne risque plus de faire souffrir grand monde alors. Je n’ai plus personne dans ma vie. Cela doit m’encourager à prendre tous ces risques.

La seule personne qu’elle appréciait était son père avant qu’il ne meure. Et sa mère, elle lui en voulait toujours pour ses mensonges et ses secrets. D’ailleurs, depuis qu’Aya était devenu Light Scarab, sa mère à abandonner le peu d’échange qu’elles avaient.
L’égyptienne remarqua cependant l’air mélancolique de sa voisine. Quel sacrifice a-t-elle put faire ? Anderson ne connaissait pas vraiment son histoire, d’ailleurs, était-elle publique ? Un peu de recherche pour le savoir aiderait, mais Aya avait peur de demander directement pour ne pas blesser.

-Vos proches doivent quand même s’inquiétés. Surtout avec ces manifestation. Ils ont était prévenus ?

Si Siren cherchait à rassurer ses amis et famille, ils ont sans doute vu des images de l’héroïne se faire lyncher par la foule et sont sans doute mort d’inquiétudes. Aya n’avait pas de lien fort avec qui que ce soit, mais cela l’inquiétait d’imaginer des gens inquiets pour quelqu’un.

Seule elle l’était. Aya n’y avait vraiment jamais faite attention. Trop prise par ses activités de supers héroïnes et d’archéologue, elle n’avait pas penser à sa situation sociale. Fille unique, son père était mort, sa mère avait prit ses distances. Elle n’avait jamais comprise sa génitrice. Aucun enfant, aucun compagnon dans sa vie et ses amis étaient rares. Aya se rendait compte, maintenant clouer dans un lit après avoir frôler la mort, que si elle disparaissait, presque personne ne s’en rendrait compte. Et cela semblait davantage la marquée qu’elle ne l’aurait crue. Mais c’était son destin après tout non ? Penser aux autres avant, sacrifier sa vie avant de songer à son propre bonheur ?

-Je n'en sais rien, j'espère... Je n'ai pas envie que ma fille me voit comme ça, elle est encore jeune et j'essaie de la préserver...face à tout ça. Mais je me rend compte que même en ayant des pouvoirs, un nom, on ne contrôle jamais vraiment.

Ces paroles ont fortement impacter Aya car elle s’y reconnaissait. Elle avait des pouvoirs, un nom aussi, mais cela ne suffisait pas à garantir la sécurité de tous. Même si elle avait fait de son mieux pour protégé les civils, il eut de la destruction et la mort. Et les gens retenaient surtout cet échec de ne pas avoir réussit à stopper Voltage. On entendait d’ailleurs les gens interrogés crier leurs mécontentement que deux héros n’ont pas réussit à sauver tout le monde et en même temps arrêter ce dangereux criminel.

-Vous n'êtes pas obligée de me croire, bien sûr, mais ce que vous avez fait, cette abnégation et ce courage...tous ne l'ont pas. Sans doute. Courageuse ou folle ? Elle fut à la fois mue par une volonté de sauver quelqu’un prit dans les flammes, de l’autre prouver quelque chose, qu’elle n’était pas dangereuse son bijou. D’ailleurs où était-il ? Pour ce que ça vaut, vous avez été aussi héroïque qu'une Gemme ou une New Hope. Alors oui, peut-être que vous avez été inconsciente mais c'était pour une bonne cause. Si aider les autres est la voie que vous voulez suivre, vous trouverez un moyen. En costume ou non, dans un hôpital ou dans la rue. Et s'il ne s'agissait que d'un coup de folie....au moins, ça a été bénéfique à quelqu'un.

Digne des Gemmes ou les News Hopes. L’idée la fit rire. Sans doute qu’il y a peu de temps encore, la perspective de rejoindre un de ces fameux groupes de supers héros lui aurait plus. Être dans une équipe comme les Avengers ou la Justice League dans les films et Comics. Mais là… l’égyptienne en doutait. Elle ne s’en sentait pas digne et ceux pour une bonne raison.

-Je suis sur que vous penseriez différemment si vous me connaissiez mieux.

Voila quand disant cela, elle risquait de se faire passer pour une ancienne criminelle. Mais d’un côté, Anderson se sentait un peu ainsi, avoir provoquer ce chaos et ces morts, c’était comme si elle se voyait avec tout ce sang sur les mains à la place du vrai psychopathe qui à engendrer cette hystérie. Pouvait-elle lui dire ? Que penserait Siren en apprenant la vérité ? Dirait-elle un beau discours réconfortant ou bien ferait elle la morale ? Aya aimerait évitée qu’on la critique, elle se blâmait déjà assez. Mais d’un autre côté, il s’agissait d’une super héroïne qui pourrait peut-être la comprendre ? Au point où elle en était.

-Je suis… Enfin j’étais une héroïne aussi avant. Costume, pouvoirs et nom. Mais je ne m’en sens plus digne depuis… Depuis que j’ai provoqué tout ça.

Elle regarda autour d’elle pour voir où était ses affaires. Ses habits, même abimer par les flammes, furent déposés dans un placard et sa veste abandonné sur une chaise. Se penchant un maximum en réprimant la douleur, l’égyptienne l’attrapa pour fouiller ses proches et y trouva son bien. Les médecins ont dut le prendre pour un simple bijoux et donc à éviter de le jeter à la poubelle. Cela lui faisait bizarre de reprendre ce pendentif en forme de Scarabée entre les doigts.

-J’étais… Light Scarab. Avoua t’elle en dévoilant le collier à la super héroïne.

Ce n’était pas facile d’avouer, mais être en présence d’une seconde super héroïne avait quelque chose d’encourageant, de rassurant. Aya se disait que quelqu’un comme Rubis Flamboyant pouvait la comprendre. Surtout vu que la foule s’était déchainée sur elle juste parce qu’elle était la et était une Spéciale, qui à supporter la haine de tout un peuple à cause de son erreur. L’erreur d’une femme qui se prenait pour une super héroïne mais n’était rien sans son bibelot. Anderson se sentait si honteuse qu’elle aimerait d’un coup revenir sur ses paroles, effacer sa confidence et rester dans l’ombre pour l’éternité. Un comble pour Light Scarab quand même.

-Je vois... Pour ce que ça vaut, encore une fois, je ne vous jette pas la pierre. Même s'il vous a mis en pleine lumière, vous n'avez rien fait pour provoquer ça. Il aurait poussé le vice aussi loin que possible de toute façon. Vous avez malheureusement croisé la route d'un narcissique et d'un théâtral. Votre seule faute a été de vouloir l'arrêter coûte que coûte mais, dans la même situation, beaucoup auraient agi comme vous l'avez fait. Parce que cet homme est dangereux.

Belle tentative pour la réconforter. Aya aurait aimer la croire, une part d’elle s’y accrochait pour ne pas sombrer totalement dans la tristesse infinie. Sur que ce Voltage n’avait rien à voir avec les habituels criminels qu’elle avait l’habitude d’affrontée. Mais cela n’allait pas réparer les dégâts et tous ces nombreux morts (de civils qui sont restés tout le long au milieu pour se barrer au dernier moment fichus pnj !)

-Je voulais à tout prix le stopper, ainsi m’assurer qu’il ne fera plus jamais de mal. Mais j’ai laissée mes émotions me dépassées, au point où c’était la colère qui m’animait. Ce voltage à le don également de vous pousser à bout.

Aya avait son petit caractère il était vrai, mais Voltage avait le don de l’énervée. Il savait frapper la où ca faisait mal et possédait une sorte d’aura qui poussait les gens à sortir de le gonds. Mais Aya aurait put aussi se maîtrisée, ne pas laissée la colère la dépassée et rester maîtresse d’elle-même. Peut-être qu’il y aurait quand même de la casse et des morts, mais moins qu’aujourd’hui.

-C'est sans doute idiot, et vous avez tout à fait le droit de refuser, mais je pense connaître quelqu'un qui pourrait remettre les pendules à l'heure. Laver votre réputation. Bien sûr, il faudrait faire vos preuves et ce ne sera pas facile mais l'agent qui s'occupe des Gemmes pourrait oeuvrer avec les personnes compétentes pour que soit rétablie la vérité.

Aya leva un sourcille, c’était une proposition plutôt inattendu, lui offrir les services de quelqu’un qui la réhabiliterait socialement. C’était plutôt étrange, Anderson fut tout de même partager, mais un point la mettait quand même mal à l’aise.

-C’est gentille de me le proposais mais… Que m’importe mon image publique sachant que j’ai contribuée à toute cette catastrophe ? Tous ces morts...

En tout cas elle n’aurait pas penser que chez les Gemmes, on protégeait tant leur image publique. Quand on y réfléchissait ca devenait logique, Aya se laissait jusque la bercer par la propagande des héros, surtout celle sur ISTV, mais maintenant elle commençait à se posées de nombreuses questions. Allons, le stresse et la culpabilité ne font pas bon ménage, elle se sentait perdue et eut du mal à remettre de l’ordre rien que dans sa tête.

-En tout cas oui. Si je devais faire quelque chose, ce sera de réparer mes torts. Tout faire pour aider et assumer ma responsabilité et me montrer digne de confiance et du rôle qu’on attend de moi.

Elle n’avait pas parler ou sous entendu du moins de tout arrêter par honte ? Il fallait croire que Rubis Flamboyant était sacrément douée pour remotivée les gens et les renvoyer sur le champ de bataille. Car à présent, Aya se disait que le mieux était d’aider autrui, le monde partait en flamme et ce ne serait pas en se cachant qu’elle empêchera l’apocalypse.